Sur le plan historique,
Yennayer remonte à la victoire de Chachnaq I, fils de Namart, sur le
pharaon Psoussenes II en l’an 950 avant le Christ, qui lui permit de
conquérir l’Egypte où il fonda la XXIIe dynastie avec Bubastis pour capitale.
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Les Amazighs (Berbères) qui célèbrent Yennayer, fête du passage au nouvel an dans la liesse et la communion, ont, à l’instar d’autres civilisations dans le monde, leur propre calendrier bien ancien, basé à la fois sur les changements de saisons et les différents cycles de végétation qui déterminent les moments des travaux agricoles, ainsi que sur les positionnements des astres, comme la Lune et le Soleil.
Sur le plan historique, Yennayer remonte à la victoire de Chachnaq I, fils de Namart, sur le pharaon Psoussenes II en l’an 950 avant le Christ, qui lui permit de conquérir l’Egypte où il fonda la XXIIe dynastie avec Bubastis pour capitale.
Les portes du nouvel an amazigh (berbère) “Tibbura u seggas” ou “Amenzu n’Yennayer” s’ouvre le 12 janvier de chaque année. Ce jour inaugure l’an 2963 du calendrier amazigh dont le départ remonte à 950 avant le Christ.
Sur le plan historique, vers 1189 avant le Christ, un des rois des Amazighs installés dans le delta du Nil en Egypte, établit sa domination sur Hiérakléopolis en Moyenne Egypte. Son septième descendant, Chachnaq 1er (Sheshonq 1er), conquit le Delta, partagea la terre entre les Amazighs et fonda la 22e dynastie Amazigho-Egyptienne en 950 avant le Christ et devient pharaon. D’où le départ du calendrier Amazigh (berbère). Le départ du calendrier amazigh remonte à la victoire de Chachnaq I, fils de Namart, sur le pharaon Psoussenes II en l’an 950 avant le Christ, qui lui permit de conquérir l’Egypte où il fonda la XXIIe dynastie avec Bubastis pour capitale.
Que les portes du bien s’ouvrent et que les portes du mal se ferment.
Asseggas Ameggaz ! Bonne année !
AD FGHEN IVERKANEN AD KECHMEN IMELLALEN !
Med Ouramdane KHACER –ATSAMROUCH Président d’Afus Deg Wfus, ancien membre de l’académie berbère.
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